C'est reparti pour la grimpette!
On part avec Harry notre guide et un ami à lui, Henry.
Départ 7h, il fait déjà très chaud et le volcan est totalement dégagé, ce qui est rare en cette période.
Après 2km de plat sur un chemin très rocailleux, on entame la montée a 350m d'altitude.
Il est prévu qu'on monte jusqu' à 1100m, au mirador El Floral. Mais Adrien a négocié pour monter un peu plus haut. Harry est d'accord pour le guider jusqu'à 1250m. Plus haut c'est interdit parce que la dernière éruption date de mars et le sol est très instable.
On monte à travers une forêt luxuriante, très verte et qui change d'apparence au fur et à mesure qu'on progresse. Après les bananiers, les hautes plantes vertes, les fleurs, les feuilles à ne pas toucher faute de piqures et les singes Congo, on arrive au mirador où il ne reste que des arbustes, de l'herbe et des rochers. Les nuages sont arrivés mais de belles éclaircies nous permettent d'admirer le lac et les côtes en face.
Je tiens à péciser que nous arrivons avec une heure d'avance sur l'autre groupe, qui est parti en même temps que nous....Oui, oui, je progresse!
Après 2h de treck, je prends ma pause. Comme convenu Adrien continue avec Harry et henry. Harry ne semble pas très emballé à cause des nuages qui empêcheront de voir le paysage. Mais l'objectif d'Adrien c'est l'altitude! Harry teste un peu Adrien et c'est en 6 minutes à peine qu'ils gravissent 100m de dénivelé. Harry est essouflé, pas Adrien...Il sait à qui il a à faire! Finalement ils monteront à 1370m.
mardi 31 août 2010
dimanche 29 août 2010
Ile d'Ometepe
Le Nicaragua possède un très grand lac et en son centre une île apparue après la formation de 2 volcans: volcan Concepcion et Volcan Maderas.
L' île est très bien entretenue et on visite enfin des coins sans enjamber des kilos de papiers et plastiques. Les habitants sont très sympas et souriants.
On s' installe pour 3 jours à Moyogalpa.
Visite de Charco Verde et sa réserve:
On loue des vélos pour la journée et on part de bonne heure pour Charco Verde. On roule sous un soleil de plomb comme on n'en a pas eu depuis le Mexique peut-être. Les 12 km avalés, on emprunte un chemin au milieu de la forêt et on arrive à la lagune de Charco Verde. Tout le temps de la balade on reste attentifs au moindre mouvement de feuilles ou au moindre craquement de branche pour espérer voir les singes Congo. On verra des centaines de papillons, des lézars verts, un iguane vert, des Uraca, oiseaux au plumage bleu nuit et....des singes!
En fait après 1h de balade à zieuter en silence les branches les plus hautes, on croise un touriste français qui nous annonce que les singes se prélassent tout au bout du chemin, affalés sur des branches. En effet, ils ne sont pas farouches et ne se cachent pas du tout à la cime des arbres! Il y a même un bébé tout petit et un mâle...que vous n'aurez pas du mal à distinguer sur les photos!
L' île est très bien entretenue et on visite enfin des coins sans enjamber des kilos de papiers et plastiques. Les habitants sont très sympas et souriants.
On s' installe pour 3 jours à Moyogalpa.
Visite de Charco Verde et sa réserve:
On loue des vélos pour la journée et on part de bonne heure pour Charco Verde. On roule sous un soleil de plomb comme on n'en a pas eu depuis le Mexique peut-être. Les 12 km avalés, on emprunte un chemin au milieu de la forêt et on arrive à la lagune de Charco Verde. Tout le temps de la balade on reste attentifs au moindre mouvement de feuilles ou au moindre craquement de branche pour espérer voir les singes Congo. On verra des centaines de papillons, des lézars verts, un iguane vert, des Uraca, oiseaux au plumage bleu nuit et....des singes!
En fait après 1h de balade à zieuter en silence les branches les plus hautes, on croise un touriste français qui nous annonce que les singes se prélassent tout au bout du chemin, affalés sur des branches. En effet, ils ne sont pas farouches et ne se cachent pas du tout à la cime des arbres! Il y a même un bébé tout petit et un mâle...que vous n'aurez pas du mal à distinguer sur les photos!
samedi 28 août 2010
León
Petit clin d' oeil á Doudou, le pauuuuuuuvre !
Après cette journée galère à la frontière on rejoint la ville de León et sa très grande cathédrale.
On ne passera que 24h ici parce que toutes les activités proposées sont super chères et on a très envie de rejoindre l'île d'Ometepe au milieu du lac du Nicaragua.
Après cette journée galère à la frontière on rejoint la ville de León et sa très grande cathédrale.
On ne passera que 24h ici parce que toutes les activités proposées sont super chères et on a très envie de rejoindre l'île d'Ometepe au milieu du lac du Nicaragua.
Rentrée
Chers collégues,
je vous souhaite a tous et toutes une tres tres bonne rentrée. J espere que vous avez bien travaillé pendant les vacances, qui ont été trop courtes encore une fois j´imagine. Et comme je vous comprends!
Je pense a vous depuis quelques jours et je me dis que cela va etre difficile pour mois dans quelques mois...
A mes eleves de Couture, une grosse bise du bout du monde. Je pense a vous souvent et je vous souhaite aussi une tres bonne rentrée avec votre nouvelle maitresse Julie.
Soyez aussi gentils avec elle que vous l´avez été avec moi. Et continuez á bien travailler.
je vous souhaite a tous et toutes une tres tres bonne rentrée. J espere que vous avez bien travaillé pendant les vacances, qui ont été trop courtes encore une fois j´imagine. Et comme je vous comprends!
Je pense a vous depuis quelques jours et je me dis que cela va etre difficile pour mois dans quelques mois...
A mes eleves de Couture, une grosse bise du bout du monde. Je pense a vous souvent et je vous souhaite aussi une tres bonne rentrée avec votre nouvelle maitresse Julie.
Soyez aussi gentils avec elle que vous l´avez été avec moi. Et continuez á bien travailler.
vendredi 27 août 2010
Connection
On part aujourd'hui de Leon pour l'ile d'Ometepe oú l'on va passer plusieurs jours. On est pas sûr d'avoir facilement accés a internet lá-bas, donc on risque de ne pas pouvoir vous donner de nouvelles pendant quelques jours.
Rappel : notre parcours sur Google earth est à jour pour ceux qui veulent bosser leur géo.
Lien : Parcours
Rappel : notre parcours sur Google earth est à jour pour ceux qui veulent bosser leur géo.
Lien : Parcours
Pour nous laisser des commentaires
Bonjour a tous, on a su que certains d entre vous souhaitaient laisser des commentaires mais ne savaient pas trop comment s'y prendre.
- cliquer sur "commentaire" en vert sous le dernier message qu on a ecrit.
- ecrire le commentaire dans le cadre blanc
- choisir un profil. Le mieux c'est NOM comme ca on sait qui nous ecrit, ou alors il faut signer. Si vous choisissez NOM, ecrivez votre prenom dans la case et rien dans la case URL. Sinon choisissez ANONYME mais signez votre message.
- Puis recopiez le mot ecrit en vert dans la case en dessous
- et enfin cliquez sur Publier le commentaire.
Pour les photos:
- ou vous cliquez sur le nom de chaque pays dans "lien vers les albums"
- ou vous cliquez sur le diaporama ce qui vous ouvrira une nouvelle fenetre et vous ne perdrez pas la page du blog.
- Dans tous les cas, vous pouvez naviguer sur notre picassa et revoir toutes les photos depuis le debut, par pays.
Un grand merci a tous ceux qui nous lisent, on ne repond pas forcement aux commentaires mais sachez qu ils nous font vraiment plaisir. Et chaque fois qu on va sur le blog on espere en trouver de nouveaux.
Bise a tous et a bientot.
- cliquer sur "commentaire" en vert sous le dernier message qu on a ecrit.
- ecrire le commentaire dans le cadre blanc
- choisir un profil. Le mieux c'est NOM comme ca on sait qui nous ecrit, ou alors il faut signer. Si vous choisissez NOM, ecrivez votre prenom dans la case et rien dans la case URL. Sinon choisissez ANONYME mais signez votre message.
- Puis recopiez le mot ecrit en vert dans la case en dessous
- et enfin cliquez sur Publier le commentaire.
Pour les photos:
- ou vous cliquez sur le nom de chaque pays dans "lien vers les albums"
- ou vous cliquez sur le diaporama ce qui vous ouvrira une nouvelle fenetre et vous ne perdrez pas la page du blog.
- Dans tous les cas, vous pouvez naviguer sur notre picassa et revoir toutes les photos depuis le debut, par pays.
Un grand merci a tous ceux qui nous lisent, on ne repond pas forcement aux commentaires mais sachez qu ils nous font vraiment plaisir. Et chaque fois qu on va sur le blog on espere en trouver de nouveaux.
Bise a tous et a bientot.
jeudi 26 août 2010
Journée frontiére, journée galére
Le Guatemala, la Salvador, le Honduras et le Nicaragua forment une alliance et lorsqu'on rentre dans l'un de ces pays, normalement on ne paye pas pour entrer dans les autres. Normalement!
Frontiere Mexique/ Guatémala : gratuit et avec le sourire de Sergent Garcia en prime!
Frontiere Guatémala / Salvador : todo gratuito.
Frontiére Salvador / Honduras : 3 dolars par personne.
Frontiere Honduras / Nicaragua : ......la moitié de notre budget quotidien, soient 12
dollars chacun. Ca pique !
Mais le mieux c'est la prise en charge:
On arrive en bus á Guasaule, la ville fontiere. Etant les seuls blancos dans le bus, on est vite repéré. A croire que le bus clignote en fluo. D'ailleurs on est si vite repérés qu'on ne se rend pas compte de ce qui se passe autour de nous. 5 ou 6 mecs entrent par la porte arriere du bus et s'emparent de nos sacs a dos en gueulant. J'ai juste le temps de me jeter sur mon sac et de leur demander de se calmer. Il fait une chaleur incroyable, on est fatigués, levés depuis 5h30 et assis dans un bus depuis 3h30. STOOOOOOOP!
Mais rien n'y fait. L'un veut nous faire monter dans son tuctuc pour nous conduire au poste qui est tres tres tres tres loin, l'autre veut nous echanger l'argent parce que c'est le seul qui le fait a ce prix et d'ailleurs á l'écouter c'est le seul changeur d'argent de toute la zone frontaliére...Pauvre garcon, il doit abattre un de ces boulots!
Bref, aprés leur avoir demandé 10 fois de nous lacher, ils comprennent enfin que le plus silencieux aura peut etre gain de cause. Alors ils continuent a nous suivre....en silence ! On dirait nos ombres. Et étant les seuls touristes, ils sont tous lá á attendre lequel on va choisir. Ils s'engueulent meme entre eux et se traitent de menteurs concernant les prix.
On se prend un coca, plus pour reflechir que par besoin et on decide finalement de prendre un tuctuc puisque la frontiere est si loin. En fait il fait vraiment tres chaud et on a pas envie de marcher 3km en plein soleil. On arrive donc au bureau de sortie du Honduras, á 300m.....
Lá on entre dans une banque pour prendre de l'argent, les "brayants" nous ayant avertis de la taxe de 12 dollars par personne. Mais il n'y a pas de distributeur! L'employé de banque nous dit qu'il y en a un coté Nicaragua et que le poste frontiere est a 1km....
Le mec du tuctuc nous assure qu'il n'y en a pas. Que faire? Le distributeur le plus proche se trouve á 1h30 d'ici ! Mais ils vivent comment???? Il nous propose un deal : si on n'a pas assez d'argent, il nous l'avance pour qu'on puisse entrer au Nicaragua, nous suit en bus jusqu'á la premiere grande ville, on retire et on le rembourse. Ca semble si honete...qu'on refuse !
Finalement on laisse tout tomber et on part a pieds au poste frontiere du Nicaragua qui est effectivement super mega loin : 500m.
La bas l'employé de la douane nous annonce le prix qu'on connaissait deja...24dollars, soient 460 lempiras (monnaie hondurienne) et nous avons en tout et pour tout...200 lempiras ! Il nous donne un tuyau, on va au duty free (oui on croit rever...y a un duty free mais pas de distributeur d'argent), on fait une carte de 24 dollars et la nana nous rend l'argent en billets. On prend donc nos airs les plus plaintifs possible et...elle refuse! Génial. Mais il y a un autre duty free á coté. Et oui !!! Mais la vendeuse est prise de remords et nous rappelle. On a nos 24 dollars, on entre enfin au Nicaragua. Dans le bus on discute avec un anglais qui n'avait pas assez non plus mais il n'a pas eu le tuyau du duty free et part donc avec un des "brayants" qui lui a avancé l'argent. Il en aura pour 35 dollars au lieu de 12. On avait senti l'arnaque, pas lui...
Frontiere Mexique/ Guatémala : gratuit et avec le sourire de Sergent Garcia en prime!
Frontiere Guatémala / Salvador : todo gratuito.
Frontiére Salvador / Honduras : 3 dolars par personne.
Frontiere Honduras / Nicaragua : ......la moitié de notre budget quotidien, soient 12
dollars chacun. Ca pique !
Mais le mieux c'est la prise en charge:
On arrive en bus á Guasaule, la ville fontiere. Etant les seuls blancos dans le bus, on est vite repéré. A croire que le bus clignote en fluo. D'ailleurs on est si vite repérés qu'on ne se rend pas compte de ce qui se passe autour de nous. 5 ou 6 mecs entrent par la porte arriere du bus et s'emparent de nos sacs a dos en gueulant. J'ai juste le temps de me jeter sur mon sac et de leur demander de se calmer. Il fait une chaleur incroyable, on est fatigués, levés depuis 5h30 et assis dans un bus depuis 3h30. STOOOOOOOP!
Mais rien n'y fait. L'un veut nous faire monter dans son tuctuc pour nous conduire au poste qui est tres tres tres tres loin, l'autre veut nous echanger l'argent parce que c'est le seul qui le fait a ce prix et d'ailleurs á l'écouter c'est le seul changeur d'argent de toute la zone frontaliére...Pauvre garcon, il doit abattre un de ces boulots!
Bref, aprés leur avoir demandé 10 fois de nous lacher, ils comprennent enfin que le plus silencieux aura peut etre gain de cause. Alors ils continuent a nous suivre....en silence ! On dirait nos ombres. Et étant les seuls touristes, ils sont tous lá á attendre lequel on va choisir. Ils s'engueulent meme entre eux et se traitent de menteurs concernant les prix.
On se prend un coca, plus pour reflechir que par besoin et on decide finalement de prendre un tuctuc puisque la frontiere est si loin. En fait il fait vraiment tres chaud et on a pas envie de marcher 3km en plein soleil. On arrive donc au bureau de sortie du Honduras, á 300m.....
Lá on entre dans une banque pour prendre de l'argent, les "brayants" nous ayant avertis de la taxe de 12 dollars par personne. Mais il n'y a pas de distributeur! L'employé de banque nous dit qu'il y en a un coté Nicaragua et que le poste frontiere est a 1km....
Le mec du tuctuc nous assure qu'il n'y en a pas. Que faire? Le distributeur le plus proche se trouve á 1h30 d'ici ! Mais ils vivent comment???? Il nous propose un deal : si on n'a pas assez d'argent, il nous l'avance pour qu'on puisse entrer au Nicaragua, nous suit en bus jusqu'á la premiere grande ville, on retire et on le rembourse. Ca semble si honete...qu'on refuse !
Finalement on laisse tout tomber et on part a pieds au poste frontiere du Nicaragua qui est effectivement super mega loin : 500m.
La bas l'employé de la douane nous annonce le prix qu'on connaissait deja...24dollars, soient 460 lempiras (monnaie hondurienne) et nous avons en tout et pour tout...200 lempiras ! Il nous donne un tuyau, on va au duty free (oui on croit rever...y a un duty free mais pas de distributeur d'argent), on fait une carte de 24 dollars et la nana nous rend l'argent en billets. On prend donc nos airs les plus plaintifs possible et...elle refuse! Génial. Mais il y a un autre duty free á coté. Et oui !!! Mais la vendeuse est prise de remords et nous rappelle. On a nos 24 dollars, on entre enfin au Nicaragua. Dans le bus on discute avec un anglais qui n'avait pas assez non plus mais il n'a pas eu le tuyau du duty free et part donc avec un des "brayants" qui lui a avancé l'argent. Il en aura pour 35 dollars au lieu de 12. On avait senti l'arnaque, pas lui...
mardi 24 août 2010
Fonfon
Et oui notre cher numero 3 nous avait caché qu'il possédait des terres au Salvador, ou Honduras et au Nicaragua... Mais nous on a enqueté !!!
Et la mission a été accomplie en un rien de temps parce qu'il a carrémement donné son nom au lieu ! Le golfe de FONSECA !!!!
Et oui scoop du siecle Fonfon se la coule douce tous les étés sur le continent des americains! Pourtant on n'a pas trouvé de whisky !
En tous cas, ce golfe est la frontiére entre le Salvador et le Honduras et certaines iles apartiennent au Nicaragua. On est allé 2 jours sur l'ile du Tigre ou il fait une chaleur infernale. Les plages sont de sable noir, café ou blanc. On a choisi Playa Grande et son sable café.
Petite ascension du volcan, donc du point culminant de l'ile a 780m. Ca fait pas beaucoup mais on part de 0 !
En tous cas, arrivés en haut on a une vue imprenable sur le golfe et ses eaux du Pacifique.
On profite d'etre sur une ile pour manger du poisson et des crevettes énormes.
On emprunte un chemin accesible seulement a marée basse ou quand la vague se retire et on rejoint la playa del Diablo. Elle est toute petite, on est tout seul au milieu....de centaines de bouteilles et autres objets en plastique que l'océan nous rend de bon coeur. On passera quand meme un peu de temps ici puisque sur playa grande il ne reste presque pas un metre carré de sable sec avec la marée haute.
Et la mission a été accomplie en un rien de temps parce qu'il a carrémement donné son nom au lieu ! Le golfe de FONSECA !!!!
Et oui scoop du siecle Fonfon se la coule douce tous les étés sur le continent des americains! Pourtant on n'a pas trouvé de whisky !
En tous cas, ce golfe est la frontiére entre le Salvador et le Honduras et certaines iles apartiennent au Nicaragua. On est allé 2 jours sur l'ile du Tigre ou il fait une chaleur infernale. Les plages sont de sable noir, café ou blanc. On a choisi Playa Grande et son sable café.
Petite ascension du volcan, donc du point culminant de l'ile a 780m. Ca fait pas beaucoup mais on part de 0 !
En tous cas, arrivés en haut on a une vue imprenable sur le golfe et ses eaux du Pacifique.
On profite d'etre sur une ile pour manger du poisson et des crevettes énormes.
On emprunte un chemin accesible seulement a marée basse ou quand la vague se retire et on rejoint la playa del Diablo. Elle est toute petite, on est tout seul au milieu....de centaines de bouteilles et autres objets en plastique que l'océan nous rend de bon coeur. On passera quand meme un peu de temps ici puisque sur playa grande il ne reste presque pas un metre carré de sable sec avec la marée haute.
lundi 23 août 2010
Alegria
Matin blanc...brouillard, alors on traine au lit. On remet la rando pour la lagune a l aprem.
Le vent est notre allie et fait disparaitre brouillard et nuages.
La rando est de courte duree puisque la lagune se trouve a 2km du village. Elle se situe dans un cratere et l eau est verte.
On peut en faire le tour facilement meme si le niveau de l eau est monte a cause des pluies.
A l hotel on tente de manier l outil pour cueillir les oranges mais c est pas si simple que ca en a l air. La proprio nous offre 2 oranges, des banabes et un zapote. On dirait un gros kiwi mais l interieur est rouge avec un noyau. Ca a le gout d une datte. On l avait deja goute mais sous forme de jus de fruit.
Demain depart pour le Honduras. On ne sait pas encore si on fera escale ou pas dans ce pays puisque la frontiere avec le Nicaragua est tres proche.
Le vent est notre allie et fait disparaitre brouillard et nuages.
La rando est de courte duree puisque la lagune se trouve a 2km du village. Elle se situe dans un cratere et l eau est verte.
On peut en faire le tour facilement meme si le niveau de l eau est monte a cause des pluies.
A l hotel on tente de manier l outil pour cueillir les oranges mais c est pas si simple que ca en a l air. La proprio nous offre 2 oranges, des banabes et un zapote. On dirait un gros kiwi mais l interieur est rouge avec un noyau. Ca a le gout d une datte. On l avait deja goute mais sous forme de jus de fruit.
Demain depart pour le Honduras. On ne sait pas encore si on fera escale ou pas dans ce pays puisque la frontiere avec le Nicaragua est tres proche.
 |
| De El Salvador |
vendredi 20 août 2010
Tonacatepeque
Vers 15h Morena et son mari passent nous chercher à la pension où on a dormi.
On arrive vers 16h au village de Tonacatepeque et on entre dans une superbe maison comme il n'y en a pas beaucoup dans les coins. Il s'agit de leur maison de weekend. Eber est originaire du village et voulait se rapprocher de sa famille.
On entre donc dans un salon, on est accueilli par une employée de la famille (à plein temps s'il vous plait) qui vide le coffre de la voiture et range tout dans la cuisine.
La maison est vraiment belle, neuve et très bien arrangée. Dans le jardin on trouve des papayes, des goyaves, des citrons, des oranges, des avocats, des amandes.
Après un petit verre de vin on part faire le tour du village. Halte chez les voisins qui répètent des chansons. On les entend chanter et jouer à des centaines de mètres tellement le son est fort. Ils nous offrent du Atol de Elote, c'est à dire une soupe de maïs chaude, dégueu...
Plus loin on s'arrête chez l'artiste du village. On entre dans un salon, il est en plein travail et peint un tableau immense pour le centre artistique de San Salvador dans lequel il travaille.
Puis on rentre pour préparer le repas. Morena et son mari nous ont prévu un petit repas bien comme on les aime! En fait on retrouvera exactement les mêmes ingrédients que depuis 1 mois et demi (haricots rouges, tomates, avocats, tortillas, riz) mais accompagnés d'un morceau de boeuf mariné et cuit au barbec comme on en avait pas mangé depuis...notre arrivée sur le continent! On va passer une très bonne soirée en leur compagnie. On est très bien reçus, rien ne manque! On est très à l'aise chez eux et tout le monde participe pour faire le repas. En fin de soirée ils nous apprennent 2 jeux de cartes salvadoriens.
Le lendemain matin, Eber, Adrien et moi partons visiter Suchitoto, un petit village à 40 minutes de Tonacatepeque. Aujourd'hui c'est la fête annuelle du maïs. Il y a donc plein de stands de spécialités à base de maïs mais à vrai dire le maïs on n'en peut plus! Et il y a évidemment les stands d'artisanat....snif!
Après un petit tour de la place on va visiter une expo de photos sur l´Equateur faite par 2 français puis on termine notre petite sortie au bord du lac Suchitlan.
Vers 13h Eber nous accompagne pour prendre le bus direction Alegria.
Muchas gracias a ustedes, ha sido un placer y les esperamos a Francia muy pronto.
Peter nos vemos cuando vuelvas a Jersey....pero cuandoooo??????
On arrive vers 16h au village de Tonacatepeque et on entre dans une superbe maison comme il n'y en a pas beaucoup dans les coins. Il s'agit de leur maison de weekend. Eber est originaire du village et voulait se rapprocher de sa famille.
On entre donc dans un salon, on est accueilli par une employée de la famille (à plein temps s'il vous plait) qui vide le coffre de la voiture et range tout dans la cuisine.
La maison est vraiment belle, neuve et très bien arrangée. Dans le jardin on trouve des papayes, des goyaves, des citrons, des oranges, des avocats, des amandes.
Après un petit verre de vin on part faire le tour du village. Halte chez les voisins qui répètent des chansons. On les entend chanter et jouer à des centaines de mètres tellement le son est fort. Ils nous offrent du Atol de Elote, c'est à dire une soupe de maïs chaude, dégueu...
Plus loin on s'arrête chez l'artiste du village. On entre dans un salon, il est en plein travail et peint un tableau immense pour le centre artistique de San Salvador dans lequel il travaille.
Puis on rentre pour préparer le repas. Morena et son mari nous ont prévu un petit repas bien comme on les aime! En fait on retrouvera exactement les mêmes ingrédients que depuis 1 mois et demi (haricots rouges, tomates, avocats, tortillas, riz) mais accompagnés d'un morceau de boeuf mariné et cuit au barbec comme on en avait pas mangé depuis...notre arrivée sur le continent! On va passer une très bonne soirée en leur compagnie. On est très bien reçus, rien ne manque! On est très à l'aise chez eux et tout le monde participe pour faire le repas. En fin de soirée ils nous apprennent 2 jeux de cartes salvadoriens.
Le lendemain matin, Eber, Adrien et moi partons visiter Suchitoto, un petit village à 40 minutes de Tonacatepeque. Aujourd'hui c'est la fête annuelle du maïs. Il y a donc plein de stands de spécialités à base de maïs mais à vrai dire le maïs on n'en peut plus! Et il y a évidemment les stands d'artisanat....snif!
Après un petit tour de la place on va visiter une expo de photos sur l´Equateur faite par 2 français puis on termine notre petite sortie au bord du lac Suchitlan.
Vers 13h Eber nous accompagne pour prendre le bus direction Alegria.
Muchas gracias a ustedes, ha sido un placer y les esperamos a Francia muy pronto.
Peter nos vemos cuando vuelvas a Jersey....pero cuandoooo??????
 |
| De El Salvador |
jeudi 19 août 2010
Lago de Coatepeque
Nous revoilà aprés une semaine d'absence!
On était au lac de Coatepeque et il n'y a pas internet.
Ce lac est classé 5ème au classement mondial des plus beaux lacs. Il se trouve dans le cratère d'un volcan. En face on peut observer le volcan Santa Anna. Il est bordé par des quintas, c'est à dire des maisons secondaires qui appartiennent à la bourgeoisie salvadorienne ou aux étrangers. Elles sont immenses, entourées d'un jardin fleuri et possèdent toutes un ponton qui avance sur le lac.
Après 3 nuits à l'hôtel Anahuac dans un lit confortable, on retrouve nos chers hammacs! Les chambres de l´hôtel Amacuilco au bord du lac sont chères donc camping oblige!
Mais c'est très sympa. On s'installe sous une palapa avec vue sur le lac, petit salon de jardin en bois, petit meuble pour ranger nos sacs, on installe la corde pour tendre le linge, piscine et salle de jeux. Il nous manque juste une cuisine pour se sentir comme à la maison. La première journèe est plutôt tranquille. Repos dans les hammacs.
Le deuxième jour on rencontre Pilar et Victor, 2 espagnols qui voyagent et recherchent des projets d'ONG intéressants en Amérique centrale pour travailler quelques mois. Ils ont déjà beaucoup voyagé les années passées dans le même objectif et connaissent bien l'Amérique latine, notamment le Pérou et la Bolivie. Ils nous racontent les coins à ne pas louper.
Dans l'aprem on part visiter Joya de Ceren. Il s'agit d'un village qui a été enseveli par les cendres d'un volcan en 595 et qui est resté 1400 ans sous 6m de cendres et de pierres, soit 14 couches volcaniques. Le village a éte retrouvé alors que des agriculteurs creusaient des silos. On peut voir des ruines de maisons et dans le musée sont exposés quelques objets quasi intacts.
Dans la foulée on part visiter les ruines de San Andrés. Ces ruines mayas ont été renforcées....au ciment! En fait on ne verra qu'un semblant de bunker au mileu d'un immense parc. Aucun intérêt si ce n'est la vue et le calme environant.
Le soir on rencontre Peter, un anglais de l'île de Jersey avec qui on fera un bout de chemin par la suite.
Le troisième jour on part faire une rando de 4heures pour atteindre le cratère du Santa Ana. Ascension facile avec 9 autres touristes salvadoriens, 2 policiers et une guide. Pour nous l'entrée dans la réserve coute 6 dollars, pour eux 3...Ici les touristes payent minimum le double que les locaux. On a même vu des entrées au musée 10 fois plus chères pour les touristes non américains du sud. Bref...
Présence des policiers obligatoire pour la sécurité des touristes. Ceux-là sont gratuits (au Guatémala il fallait payer les policiers pour être protégés!!!)
Présence de la guide obsolument inutile. Ah non, j'exagère! Arrivés au cratère on découvrira enfin le son de sa voix et on apprendra alors que le cratère mesure 600m de profondeur et 3km de circonférence. Puis elle ira s'asseoir sur un rocher pour se remaquiller....dur boulot!
Au fond du cratère on pourra apprécier la belle lagune verte. C'est le soufre qui lui donne cette couleur si particulière et on verra des fumeroles. Il y a un an le volcan est entré en éruption, les habitants du lac ont été évacués mais finalement il n'a craché que de la cendre qui a quand même brulé des plantations.
Retour sous la pluie...Filou n'a même pas eu le temps de poser !
Le soir on rencontre Eber et Morena, un couple de 58 et 55 ans qui boit l'apéro. On les invite sous notre palapa, Peter est la aussi. Finalement après quelques bières et verres de vodka on se couche trèèèèèèès tard, à minuit et demi! Ce qui est un exploit pour nous 2 depuis le début du voyage!
Le dernier jour au bord du lac, on fait les bagages et on embarque avec Morena et son mari qui nous proposent de nous amener à San Salvador puis de passer le week end dans leur maison de vacances à Tonacatepeque! Nous voilè tous les 5 (avec Peter) en route pour San Salvador.
On était au lac de Coatepeque et il n'y a pas internet.
Ce lac est classé 5ème au classement mondial des plus beaux lacs. Il se trouve dans le cratère d'un volcan. En face on peut observer le volcan Santa Anna. Il est bordé par des quintas, c'est à dire des maisons secondaires qui appartiennent à la bourgeoisie salvadorienne ou aux étrangers. Elles sont immenses, entourées d'un jardin fleuri et possèdent toutes un ponton qui avance sur le lac.
Après 3 nuits à l'hôtel Anahuac dans un lit confortable, on retrouve nos chers hammacs! Les chambres de l´hôtel Amacuilco au bord du lac sont chères donc camping oblige!
Mais c'est très sympa. On s'installe sous une palapa avec vue sur le lac, petit salon de jardin en bois, petit meuble pour ranger nos sacs, on installe la corde pour tendre le linge, piscine et salle de jeux. Il nous manque juste une cuisine pour se sentir comme à la maison. La première journèe est plutôt tranquille. Repos dans les hammacs.
Le deuxième jour on rencontre Pilar et Victor, 2 espagnols qui voyagent et recherchent des projets d'ONG intéressants en Amérique centrale pour travailler quelques mois. Ils ont déjà beaucoup voyagé les années passées dans le même objectif et connaissent bien l'Amérique latine, notamment le Pérou et la Bolivie. Ils nous racontent les coins à ne pas louper.
Dans l'aprem on part visiter Joya de Ceren. Il s'agit d'un village qui a été enseveli par les cendres d'un volcan en 595 et qui est resté 1400 ans sous 6m de cendres et de pierres, soit 14 couches volcaniques. Le village a éte retrouvé alors que des agriculteurs creusaient des silos. On peut voir des ruines de maisons et dans le musée sont exposés quelques objets quasi intacts.
Dans la foulée on part visiter les ruines de San Andrés. Ces ruines mayas ont été renforcées....au ciment! En fait on ne verra qu'un semblant de bunker au mileu d'un immense parc. Aucun intérêt si ce n'est la vue et le calme environant.
Le soir on rencontre Peter, un anglais de l'île de Jersey avec qui on fera un bout de chemin par la suite.
Le troisième jour on part faire une rando de 4heures pour atteindre le cratère du Santa Ana. Ascension facile avec 9 autres touristes salvadoriens, 2 policiers et une guide. Pour nous l'entrée dans la réserve coute 6 dollars, pour eux 3...Ici les touristes payent minimum le double que les locaux. On a même vu des entrées au musée 10 fois plus chères pour les touristes non américains du sud. Bref...
Présence des policiers obligatoire pour la sécurité des touristes. Ceux-là sont gratuits (au Guatémala il fallait payer les policiers pour être protégés!!!)
Présence de la guide obsolument inutile. Ah non, j'exagère! Arrivés au cratère on découvrira enfin le son de sa voix et on apprendra alors que le cratère mesure 600m de profondeur et 3km de circonférence. Puis elle ira s'asseoir sur un rocher pour se remaquiller....dur boulot!
Au fond du cratère on pourra apprécier la belle lagune verte. C'est le soufre qui lui donne cette couleur si particulière et on verra des fumeroles. Il y a un an le volcan est entré en éruption, les habitants du lac ont été évacués mais finalement il n'a craché que de la cendre qui a quand même brulé des plantations.
Retour sous la pluie...Filou n'a même pas eu le temps de poser !
Le soir on rencontre Eber et Morena, un couple de 58 et 55 ans qui boit l'apéro. On les invite sous notre palapa, Peter est la aussi. Finalement après quelques bières et verres de vodka on se couche trèèèèèèès tard, à minuit et demi! Ce qui est un exploit pour nous 2 depuis le début du voyage!
Le dernier jour au bord du lac, on fait les bagages et on embarque avec Morena et son mari qui nous proposent de nous amener à San Salvador puis de passer le week end dans leur maison de vacances à Tonacatepeque! Nous voilè tous les 5 (avec Peter) en route pour San Salvador.
 |
| De El Salvador |
dimanche 15 août 2010
Juayua
Aprés 2 jours sans grande activité (ca fait du bien surtout quand l'hotel est agreable)on s'est dégourdi les jambes aujourd'hui.
Douglas, notre guide, nous a conduit jusqu'aux cascades a travers les plantations de café et le sentier de foret qu'il a parfois dégagé au coupe-coupe.Et meme si l'équilibre était incertain a cause du sol tres glissant, ca valait vraiment la peine. On a meme eu droit a une descente a la corde sur les rochers mouillés.
Vers la fin de la rando on est arrivé aux Chorros de la Calera, la cascade oú on était allé le premier jour. C'est lá qu'on a pris le casse croute et qu'on s'est baigné.
Demain on quitte Juayua oú on a passé 3 journées trés agréables meme si on a eu un peu de pluie. On y a fait la rencontre d'Ines et Daniel, 2 espagnols de Salamanca, profs á la retraite qui travaillent ici comme bénévoles pour une ONG. Ils font classe aux femmes d'un village voisin. Elles apprennent á lire, écrire et compter mais la moitié d'entre elles ne savent meme pas tenir un stylo. Ines et Daniel font un travail énorme pour elles et sont lá pour 3 mois.
Douglas, notre guide, nous a conduit jusqu'aux cascades a travers les plantations de café et le sentier de foret qu'il a parfois dégagé au coupe-coupe.Et meme si l'équilibre était incertain a cause du sol tres glissant, ca valait vraiment la peine. On a meme eu droit a une descente a la corde sur les rochers mouillés.
Vers la fin de la rando on est arrivé aux Chorros de la Calera, la cascade oú on était allé le premier jour. C'est lá qu'on a pris le casse croute et qu'on s'est baigné.
Demain on quitte Juayua oú on a passé 3 journées trés agréables meme si on a eu un peu de pluie. On y a fait la rencontre d'Ines et Daniel, 2 espagnols de Salamanca, profs á la retraite qui travaillent ici comme bénévoles pour une ONG. Ils font classe aux femmes d'un village voisin. Elles apprennent á lire, écrire et compter mais la moitié d'entre elles ne savent meme pas tenir un stylo. Ines et Daniel font un travail énorme pour elles et sont lá pour 3 mois.
 |
| De El Salvador |
samedi 14 août 2010
Salvador
Nous voici au Salvador !
Aprés une bonne heure passée á la frontiére, nous mettons les pieds au Salvador á 12h46!
L'arrivée dans ce pays est trés jolie, on traverse une campagne trés verte et fleurie et on peut observer quelques petits volcans.
On s'arrete á Chalchuapa pour la premiére nuit. Petite ville á quelques km de la frontiére. Les salvadoriens sont plus souriants et donc accueillants que les guatémalteques. Pourvu que ca dure!
Le lendemain matin nous partons visiter "los Ausoles", c'est á dire les fumeroles d'eau bouillante á quelques km de la ville. C'est impressionant, la vapeur sort de la terre par de minuscules trous en faisant un bruit de cocotte minute, le sol est chaud voire trés chaud á certains endroits. Lorsque l'eau est á seulement quelques centimétres de la surface, on voit des bulles, des bouillons et des flaques de boue bouillonantes. Ca sent fort le soufre et certains pierres sont jaunatres.
En Amérique centrale certains sites se trouvent sur des terrains privés. Pour y accéder il suffit de payer l'entrée au proprio. Ici c'est 1 dollar pour 2. La monnaie au Salvador est le dollar. On a oublié l'appareil photos á l'hotel donc pendant qu'Adrien repart le chercher, je m'installe chez la dame qui prépare des tamales: pate de maïs bouillie que l'on mange avec de la creme ou du fromage pour accompagner un plat. Elle m'em offre un pour patienter...quelle joie de manger ca á 9h du matin!! :( Mais Adrien arrive vite et termine ce fabuleux mets!
Vers 11h on prend la route pour Juayua, petit village sur la "Ruta de las flores". Les fleurs... on en voit quelques une mais la route est réellement fleurie d'avril á juin.
Juayua: petit village trés accueillant. On pose nos bagages á l'hotel Anáhuac. Maria nous accueille avec un grand sourire, l'hotel est tellement coquet qu'on va peut etre y rester plusieurs nuits. En plus il y a pas mal d'activités par ici.
On commence d'ailleurs rapidement en allant voir les cascades de Los chorros de la calera. Petite balade au coeur de la foret pour arriver sur un site malheureusement tres sale mais les cascades sont tres belles. On peut meme se baigner dans une eau transparente. Cette aprem on y est allé sans apareil photo parce que les maras trainent ds le coin (groupe de jeunes qui volent les touristes). Finalement on croisera un papillon vert fluo et des araignées trés vénéneuses selon un guide qu'on croisera. Pas de vilains garnements mais le Salvador est quand meme connu pour une certaine violence et pas qu'á San Salvador la capitale alors on prendra des guides pour les randos et ascensions de volcans. Pour l'instant les hotel ont un prix correct et la nourriture et les guides sont par contre pas cher du tout alors on ne va pas s'en priver.
Demain au village: Feria gastronomica pour Adrien et feria de artenasias pour moi! Benoit je commence demain pour mes miiiiiiilliers de souvenirs que tu devras ramener en France!
Aprés une bonne heure passée á la frontiére, nous mettons les pieds au Salvador á 12h46!
L'arrivée dans ce pays est trés jolie, on traverse une campagne trés verte et fleurie et on peut observer quelques petits volcans.
On s'arrete á Chalchuapa pour la premiére nuit. Petite ville á quelques km de la frontiére. Les salvadoriens sont plus souriants et donc accueillants que les guatémalteques. Pourvu que ca dure!
Le lendemain matin nous partons visiter "los Ausoles", c'est á dire les fumeroles d'eau bouillante á quelques km de la ville. C'est impressionant, la vapeur sort de la terre par de minuscules trous en faisant un bruit de cocotte minute, le sol est chaud voire trés chaud á certains endroits. Lorsque l'eau est á seulement quelques centimétres de la surface, on voit des bulles, des bouillons et des flaques de boue bouillonantes. Ca sent fort le soufre et certains pierres sont jaunatres.
En Amérique centrale certains sites se trouvent sur des terrains privés. Pour y accéder il suffit de payer l'entrée au proprio. Ici c'est 1 dollar pour 2. La monnaie au Salvador est le dollar. On a oublié l'appareil photos á l'hotel donc pendant qu'Adrien repart le chercher, je m'installe chez la dame qui prépare des tamales: pate de maïs bouillie que l'on mange avec de la creme ou du fromage pour accompagner un plat. Elle m'em offre un pour patienter...quelle joie de manger ca á 9h du matin!! :( Mais Adrien arrive vite et termine ce fabuleux mets!
Vers 11h on prend la route pour Juayua, petit village sur la "Ruta de las flores". Les fleurs... on en voit quelques une mais la route est réellement fleurie d'avril á juin.
Juayua: petit village trés accueillant. On pose nos bagages á l'hotel Anáhuac. Maria nous accueille avec un grand sourire, l'hotel est tellement coquet qu'on va peut etre y rester plusieurs nuits. En plus il y a pas mal d'activités par ici.
On commence d'ailleurs rapidement en allant voir les cascades de Los chorros de la calera. Petite balade au coeur de la foret pour arriver sur un site malheureusement tres sale mais les cascades sont tres belles. On peut meme se baigner dans une eau transparente. Cette aprem on y est allé sans apareil photo parce que les maras trainent ds le coin (groupe de jeunes qui volent les touristes). Finalement on croisera un papillon vert fluo et des araignées trés vénéneuses selon un guide qu'on croisera. Pas de vilains garnements mais le Salvador est quand meme connu pour une certaine violence et pas qu'á San Salvador la capitale alors on prendra des guides pour les randos et ascensions de volcans. Pour l'instant les hotel ont un prix correct et la nourriture et les guides sont par contre pas cher du tout alors on ne va pas s'en priver.
Demain au village: Feria gastronomica pour Adrien et feria de artenasias pour moi! Benoit je commence demain pour mes miiiiiiilliers de souvenirs que tu devras ramener en France!
 |
| De El Salvador |
mardi 10 août 2010
Semuc Champey
Ce matin 10km de marche pour rejoindre un site paradisiaque: Semuc Champey.
Avant de vous laisser contempler les photos qui parleront plus que nous, petite explication du pourquoi du comment:
Le Cahabon, riviére qui traverse Semuc Champey, s'engouffre sous terre sur 300 métres dans un tunel rocheux. Les bassins émergents (pozas) sont remplis par les ruissellements de la vallée. L'eau transparente, le sol calcaire et le ciel si bleu donnent cette couleur turquoise aux bassins. On se croirait au paradis!
On peut accéder á un mirador duquel on peut observer cette parfaite nature. Le site est bordé d'une foret subtropicale avec des dizaines d'especes d'arbres et de plantes. On verra un toucan,un colibri, un crabe de foret orange et des papillons énormes blancs, turquoises, oranges ou multicolores.
Pour parfaire la journée, on part visiter les grottes de Semuc. Quelle rigolade! Sophie et Anna, 2 francaises rencontrées la veille á Lanquin nous accompagnent. Notre guide (obligatoire) s'appelle Sebastian, et il va vivre 1h30 de visite pas comme les autres. Ces grottes se visitent á la bougie. Il faut parfois se plier en deux, parfois marcher dans un métre d'eau et meme nager! Seules nos bougies nous éclairent donc on ne voit pas grand chose des paroies mais l'intéret n'est pas lá. L'objectif est plutot sportif ici. Parce que nager avec un bras et tenir une bougie avec l'autre main c'est pas si facile! Et Sophie qui ne peut s'empecher de parler...panique á bord???
En tous cas elle anime bien la visite et on rigole bien.
Sur la fin Sebastian nous propose de continuer en traversant la cascade ou en passant par une échelle. On choisit la cascade. Par contre ce qu'on avait pas vraiment saisi c'est qu'il fallait remonter la cascade á l'aide d'une corde, á la force des bras, courant pleine face et sans lumiére...forcément la bougie au milieu de litres d'eau n'est plus....
Pas facile la chose, il faut se coller á la paroie pour trouver un peu d'air. En réalité la montée fait 2m mais la puissance de l'eau et le noir complet aidant, on a l'impression qu'on ne sortira jamais de cette douche géante. Finalement Adrien monte aussi et Anna a le choix entre faire un dernier effort et arriver sans maillot ou redescendre! Elle fait le choix numéro 2. Je la comprends! Sophie la bavarde prend l'échelle! Plus raisonable ou moins aventuriére?
Aprés cette petite montée d'adrénaline on arrive en fin de visite. Petit saut dans un puits, petit toboggan et petites farces de Sebastian qui ne remonte pas á la surface ou qui se cache derriére des rochers et éteind sa bougie. En tous cas super moment passé en compagnie de nos parisiennes á l'accent étangement marseillais ;) et merci á Sebastian, super guide.
Aprés toutes ces émotions il est temps de rentrer. Au bout de 3.5km á pied (bravo Sophie!!!!!) un monsieur s'arrete et se propose pour nous ramener á Lanquin, "muy despacito" (lentement). Il vaut mieux vu l'état de la "route". Et hop á l'arriére du pick up, calés entre 2 bidons énormes.
En arrivant apéro oblige, en plus c'est l'heure de l'happy hour! Cuba libre et Mojito sont de rigueur!
Bise á Sophie et Anna (ou Hannah?) et merci pour cette fin de journée "trinkileu"!!!
Au fait les filles, fouillez un peu (photos Mexique, Tulum) et vous verez le fameux crabe bleu!
Avant de vous laisser contempler les photos qui parleront plus que nous, petite explication du pourquoi du comment:
Le Cahabon, riviére qui traverse Semuc Champey, s'engouffre sous terre sur 300 métres dans un tunel rocheux. Les bassins émergents (pozas) sont remplis par les ruissellements de la vallée. L'eau transparente, le sol calcaire et le ciel si bleu donnent cette couleur turquoise aux bassins. On se croirait au paradis!
On peut accéder á un mirador duquel on peut observer cette parfaite nature. Le site est bordé d'une foret subtropicale avec des dizaines d'especes d'arbres et de plantes. On verra un toucan,un colibri, un crabe de foret orange et des papillons énormes blancs, turquoises, oranges ou multicolores.
Pour parfaire la journée, on part visiter les grottes de Semuc. Quelle rigolade! Sophie et Anna, 2 francaises rencontrées la veille á Lanquin nous accompagnent. Notre guide (obligatoire) s'appelle Sebastian, et il va vivre 1h30 de visite pas comme les autres. Ces grottes se visitent á la bougie. Il faut parfois se plier en deux, parfois marcher dans un métre d'eau et meme nager! Seules nos bougies nous éclairent donc on ne voit pas grand chose des paroies mais l'intéret n'est pas lá. L'objectif est plutot sportif ici. Parce que nager avec un bras et tenir une bougie avec l'autre main c'est pas si facile! Et Sophie qui ne peut s'empecher de parler...panique á bord???
En tous cas elle anime bien la visite et on rigole bien.
Sur la fin Sebastian nous propose de continuer en traversant la cascade ou en passant par une échelle. On choisit la cascade. Par contre ce qu'on avait pas vraiment saisi c'est qu'il fallait remonter la cascade á l'aide d'une corde, á la force des bras, courant pleine face et sans lumiére...forcément la bougie au milieu de litres d'eau n'est plus....
Pas facile la chose, il faut se coller á la paroie pour trouver un peu d'air. En réalité la montée fait 2m mais la puissance de l'eau et le noir complet aidant, on a l'impression qu'on ne sortira jamais de cette douche géante. Finalement Adrien monte aussi et Anna a le choix entre faire un dernier effort et arriver sans maillot ou redescendre! Elle fait le choix numéro 2. Je la comprends! Sophie la bavarde prend l'échelle! Plus raisonable ou moins aventuriére?
Aprés cette petite montée d'adrénaline on arrive en fin de visite. Petit saut dans un puits, petit toboggan et petites farces de Sebastian qui ne remonte pas á la surface ou qui se cache derriére des rochers et éteind sa bougie. En tous cas super moment passé en compagnie de nos parisiennes á l'accent étangement marseillais ;) et merci á Sebastian, super guide.
Aprés toutes ces émotions il est temps de rentrer. Au bout de 3.5km á pied (bravo Sophie!!!!!) un monsieur s'arrete et se propose pour nous ramener á Lanquin, "muy despacito" (lentement). Il vaut mieux vu l'état de la "route". Et hop á l'arriére du pick up, calés entre 2 bidons énormes.
En arrivant apéro oblige, en plus c'est l'heure de l'happy hour! Cuba libre et Mojito sont de rigueur!
Bise á Sophie et Anna (ou Hannah?) et merci pour cette fin de journée "trinkileu"!!!
Au fait les filles, fouillez un peu (photos Mexique, Tulum) et vous verez le fameux crabe bleu!
 |
| De Guatémala |
lundi 9 août 2010
Les grottes de Lanquin
Joyeux anniversaire de mariage á papa et maman!
Aprés Antigua, on part plus au nord, á Lanquin.
Pour accéder á ce village on roule 1h sur une route et 1h sur un chemin trééés caillouteux.
A l´hotel on fait la connaissance de Leny, un allemand en voyage depuis 2 ans et demi! Il a du gagner au loto... Il lui reste encore 6 mois de voyage. A coté on est des petits!
Il profite de notre présence pour nous faire un trés trés long résumé de son expérience en asie et amérique centrale et latine. Il nous donne plein de conseils sur les sites á visiter et sur des adresses d´hotels au coeur de la jungle!
L'aprem: visite des grottes du village.
A l'accueil: un policier, fusil á pompe sur l'épaule, gére les entrées. En fait les policiers sont un peu partout sur les sites touristiques pour protéger les touristes et ils ont tous un fusil á pompe en bandouliére (dans les banques aussi et fouille obligatoire meme pour les locaux!)
On accéde á l'entrée de la grotte par un petit chemin qui longe une riviére. D'ailleurs cette riviére traverse les grottes et en ressort en jolie cascade.
Quelques ampoules nous guident sur les 500 métres de la visite. On voit de belles stalacmites et stalactites, des chauves souris et un araignée géante....pas trés joyeuse découverte pour moi....
Pour les photos c'est pas facile. Des efforts ont été faits pour éclairer certains jolis pans de mur mais au lieu d'avoir posé des projecteurs pour les éclairer, des ampoules á la lumiére trés jaune ont été posées justement sur ces murs!
Le Guatemala est une destination assez récente en terme de tourisme et manque de budget dans ce domaine. Certains sites sont mis en valeur, d'autres pas encore, certains sont meme souillés apr des kilos de déchets. C'est pourtant un magnifique pays, trés vert, montagneux, comptant d'innombrables merveilles naturelles.
Aprés Antigua, on part plus au nord, á Lanquin.
Pour accéder á ce village on roule 1h sur une route et 1h sur un chemin trééés caillouteux.
A l´hotel on fait la connaissance de Leny, un allemand en voyage depuis 2 ans et demi! Il a du gagner au loto... Il lui reste encore 6 mois de voyage. A coté on est des petits!
Il profite de notre présence pour nous faire un trés trés long résumé de son expérience en asie et amérique centrale et latine. Il nous donne plein de conseils sur les sites á visiter et sur des adresses d´hotels au coeur de la jungle!
L'aprem: visite des grottes du village.
A l'accueil: un policier, fusil á pompe sur l'épaule, gére les entrées. En fait les policiers sont un peu partout sur les sites touristiques pour protéger les touristes et ils ont tous un fusil á pompe en bandouliére (dans les banques aussi et fouille obligatoire meme pour les locaux!)
On accéde á l'entrée de la grotte par un petit chemin qui longe une riviére. D'ailleurs cette riviére traverse les grottes et en ressort en jolie cascade.
Quelques ampoules nous guident sur les 500 métres de la visite. On voit de belles stalacmites et stalactites, des chauves souris et un araignée géante....pas trés joyeuse découverte pour moi....
Pour les photos c'est pas facile. Des efforts ont été faits pour éclairer certains jolis pans de mur mais au lieu d'avoir posé des projecteurs pour les éclairer, des ampoules á la lumiére trés jaune ont été posées justement sur ces murs!
Le Guatemala est une destination assez récente en terme de tourisme et manque de budget dans ce domaine. Certains sites sont mis en valeur, d'autres pas encore, certains sont meme souillés apr des kilos de déchets. C'est pourtant un magnifique pays, trés vert, montagneux, comptant d'innombrables merveilles naturelles.
 |
| De Guatémala |
samedi 7 août 2010
Antigua
Antigua a été plusieurs fois détruite par des tremblements de terre et lentement reconstruite.
Jolie ville avec un parc central agréable et sa fontaine aux formes "généreuses".
1er jour : visite d'Antigua, de ses interminables rues pavées, de ses églises, cathédrales et couvents.
2éme jour: promenade au pied du volcan Pacaya, sur une coulée de lave qui date de 2 mois et demi seulement.
De la fumée s'échappe encore par endroits et en grattant un peu les pierres on parvient meme á apercevoir un peu de lave encore en fusion. C'est pas une coulée mais c'est quand meme impressionant de se dire qu'á quelques centimetres sous nos pieds, la lave est encore chaude. D'ailleurs un touriste glisse un baton dans le trou et il prend feu en un dixiéme de seconde!
On voit aussi des plaques de soufre fumantes. En soulevant une autre pierre et en glissant une branche, le feu qui prend est vert: c'est le soufre qui brule.
En face, le volcan de Fuego entre en éruption, grosse fumée grisatre qui s'éléve dans les airs, semblable á celle du Santiaguito (Quetzaltenango).
Jolie ville avec un parc central agréable et sa fontaine aux formes "généreuses".
1er jour : visite d'Antigua, de ses interminables rues pavées, de ses églises, cathédrales et couvents.
2éme jour: promenade au pied du volcan Pacaya, sur une coulée de lave qui date de 2 mois et demi seulement.
De la fumée s'échappe encore par endroits et en grattant un peu les pierres on parvient meme á apercevoir un peu de lave encore en fusion. C'est pas une coulée mais c'est quand meme impressionant de se dire qu'á quelques centimetres sous nos pieds, la lave est encore chaude. D'ailleurs un touriste glisse un baton dans le trou et il prend feu en un dixiéme de seconde!
On voit aussi des plaques de soufre fumantes. En soulevant une autre pierre et en glissant une branche, le feu qui prend est vert: c'est le soufre qui brule.
En face, le volcan de Fuego entre en éruption, grosse fumée grisatre qui s'éléve dans les airs, semblable á celle du Santiaguito (Quetzaltenango).
 |
| De Guatémala |
jeudi 5 août 2010
Chichicastenango
Et on continue sur notre lancée des ...TENANGO (signification à chercher d'ailleurs)
On vient à Chichi pour voir son fameux marché d'artisanat. Tout est très coloré, ça grouille de monde, de locaux, de touristes. Les femmes tissent les nappes, les foulards, les bracelets, les hommes fabriquent des bijoux ou cassent des pierres de calcaire qui serviront à cuisiner le maïs.
Le marché entoure une église. Sur les marches de l'église une forte odeur d'encens se propage. En fait il s'agit d'un rite maya. Un homme fait brûler de l'encens de bois ou de pierres sur les marches de l'église et soigne ainsi les maux de n'importe quelle nature.
Dans l'église 2 femmes écoutent et observent un homme qui a l'air de lire des choses dans le tissu qu'elles lui ont apporté. Guérisseur maya???
Après 1h30 dans le marché à contempler ce bel artisanat sans pourvoir ni même penser à acheter quoi que ce soit (snif), nous reprenons la route pour Antigua, ancienne capitale du Guatémala.
On vient à Chichi pour voir son fameux marché d'artisanat. Tout est très coloré, ça grouille de monde, de locaux, de touristes. Les femmes tissent les nappes, les foulards, les bracelets, les hommes fabriquent des bijoux ou cassent des pierres de calcaire qui serviront à cuisiner le maïs.
Le marché entoure une église. Sur les marches de l'église une forte odeur d'encens se propage. En fait il s'agit d'un rite maya. Un homme fait brûler de l'encens de bois ou de pierres sur les marches de l'église et soigne ainsi les maux de n'importe quelle nature.
Dans l'église 2 femmes écoutent et observent un homme qui a l'air de lire des choses dans le tissu qu'elles lui ont apporté. Guérisseur maya???
Après 1h30 dans le marché à contempler ce bel artisanat sans pourvoir ni même penser à acheter quoi que ce soit (snif), nous reprenons la route pour Antigua, ancienne capitale du Guatémala.
mercredi 4 août 2010
Volcan San Pedro
Ce matin c'est grimpette!
On rejoint l'entrée de la réserve où se trouve le volcan en tuc-tuc. Moyenne: 9.2km/h!
L'entrée est payante et presque chère pour notre budget.
La montée est beaucoup plus simple que pour le volcan Santa Maria pourtant le dénivelé est sensiblement le même. Le parcours est aménagé: escaliers en bois et cordes sur les parties les plus abruptes, mirador avec vue sur le lac évidemment.
A la différence du Santa Maria, le parcours est très propre. Le prix d'entrée comprend un guide, les touristes sont donc surveillés et ne peuvent pas jeter leurs déchets. Nous sommes partis sans guide mais nous n'avons rien jeté !
Au début du parcours on traverse des champs de caféiers et d'avocatiers puis plus haut on trouve des champs de maïs. Enfin dans la partie la plus haute on traverse une forêt dense avec plein de lianes. Tout est très vert mais ce matin un nuage a pris ses quartiers sur le volcan. L'air est donc très humide et c'est malheureusement une vue sur "rien" qui nous attend à la cime du San Pedro!
Nous profitons de la descente pour faire des photos et ramasser des avocats. Et oui, nous n'avons fait que 2 pauses et demie en 3h de montée! Je progresse et sans rechigner en plus...
On rejoint l'entrée de la réserve où se trouve le volcan en tuc-tuc. Moyenne: 9.2km/h!
L'entrée est payante et presque chère pour notre budget.
La montée est beaucoup plus simple que pour le volcan Santa Maria pourtant le dénivelé est sensiblement le même. Le parcours est aménagé: escaliers en bois et cordes sur les parties les plus abruptes, mirador avec vue sur le lac évidemment.
A la différence du Santa Maria, le parcours est très propre. Le prix d'entrée comprend un guide, les touristes sont donc surveillés et ne peuvent pas jeter leurs déchets. Nous sommes partis sans guide mais nous n'avons rien jeté !
Au début du parcours on traverse des champs de caféiers et d'avocatiers puis plus haut on trouve des champs de maïs. Enfin dans la partie la plus haute on traverse une forêt dense avec plein de lianes. Tout est très vert mais ce matin un nuage a pris ses quartiers sur le volcan. L'air est donc très humide et c'est malheureusement une vue sur "rien" qui nous attend à la cime du San Pedro!
Nous profitons de la descente pour faire des photos et ramasser des avocats. Et oui, nous n'avons fait que 2 pauses et demie en 3h de montée! Je progresse et sans rechigner en plus...
mardi 3 août 2010
Tranquiiiiiille....
Levé tardif ce matin!
Après un déménagement d'hôtel pour avoir un lit digne de ce nom et une vue sur le lac et non sur le couloir de l'entrée nous déjeûnons sur le solarium.
Puis petit tour de Kayak pendant lequel nous croisons des locaux faisant leur lessive et se lavant sur les bords du lac.
Journée tranquille et reposante!
Après un déménagement d'hôtel pour avoir un lit digne de ce nom et une vue sur le lac et non sur le couloir de l'entrée nous déjeûnons sur le solarium.
Puis petit tour de Kayak pendant lequel nous croisons des locaux faisant leur lessive et se lavant sur les bords du lac.
Journée tranquille et reposante!
lundi 2 août 2010
Lago Atitlan
Joyeux anniversaire Antoine!
Le lac Atitlan est bordé de montagnes et de 3 volcans. Ses eaux sont de différentes couleurs selon la luminosité et la profondeur. On passe du vert profond au centre du lac au turquoise à la lagune Cristalina.
Plusieurs villages ont été construits autour du lac. On choisit San Pedro qui se trouve au pied du volcan du même nom.
Après 2 grandes villes polluées et sans grand charme, nous sommes ravis de retrouver un coin tranquille, des ruelles, des sentiers, le calme et un grand soleil!
Première balade dans le village. Àprès une pause chez un bouquiniste, on emprunte un sentier très étroit sans vraiment savoir où il nous mène. Finalement, après avoir traversé un champs de maïs, une écurie et longé un hôtel, nous nous retrouvons sur les rives du lac. C'est très joli, très calme et ça donne envie de s'y perdre.
On croise un nombre incalculable d'écoles d'espagnol pour étrangers. Les cours se font sous une paillote, en duo avec le prof. Il y a aussi beaucoup d'hôtels mais ils se fondent à la nature. Tout est discret, intimiste.
Le sentier nous mène ensuite sur des rochers qui servent de plages aux baigneurs. La vue sur les montagnes est splendide, il y a des pierres ponces qui flottent mais malheureusement les papiers et les bouteilles en plastique aussi...
Petite baignade pour Adrien.
Le soir on mange vite fait. Dans la rue de l'hôtel une dame fait cuire des morceaux de viande et les sert avec du guacamole et du frijol (purée de haricots rouges). La cuisson est longue....très longue....surtout que 2 TYPES bourrés nous collent aux basks et nous répètent inlassablement "Tankillou tankillou", Angoulême est en Angletterre? et "zanidin zedin, mejor jugador del mundo". Et que veulent-ils réellement? 50 centavos pour s'acheter une bouteille d'eau!!!!! On comprend pas, y a pas de ricard ici!
Le lac Atitlan est bordé de montagnes et de 3 volcans. Ses eaux sont de différentes couleurs selon la luminosité et la profondeur. On passe du vert profond au centre du lac au turquoise à la lagune Cristalina.
Plusieurs villages ont été construits autour du lac. On choisit San Pedro qui se trouve au pied du volcan du même nom.
Après 2 grandes villes polluées et sans grand charme, nous sommes ravis de retrouver un coin tranquille, des ruelles, des sentiers, le calme et un grand soleil!
Première balade dans le village. Àprès une pause chez un bouquiniste, on emprunte un sentier très étroit sans vraiment savoir où il nous mène. Finalement, après avoir traversé un champs de maïs, une écurie et longé un hôtel, nous nous retrouvons sur les rives du lac. C'est très joli, très calme et ça donne envie de s'y perdre.
On croise un nombre incalculable d'écoles d'espagnol pour étrangers. Les cours se font sous une paillote, en duo avec le prof. Il y a aussi beaucoup d'hôtels mais ils se fondent à la nature. Tout est discret, intimiste.
Le sentier nous mène ensuite sur des rochers qui servent de plages aux baigneurs. La vue sur les montagnes est splendide, il y a des pierres ponces qui flottent mais malheureusement les papiers et les bouteilles en plastique aussi...
Petite baignade pour Adrien.
Le soir on mange vite fait. Dans la rue de l'hôtel une dame fait cuire des morceaux de viande et les sert avec du guacamole et du frijol (purée de haricots rouges). La cuisson est longue....très longue....surtout que 2 TYPES bourrés nous collent aux basks et nous répètent inlassablement "Tankillou tankillou", Angoulême est en Angletterre? et "zanidin zedin, mejor jugador del mundo". Et que veulent-ils réellement? 50 centavos pour s'acheter une bouteille d'eau!!!!! On comprend pas, y a pas de ricard ici!
 |
| De Guatémala |
dimanche 1 août 2010
Mes chaussures sont trop louuuuurdes et la terre est trop moooolle....
Ce matin levés 4h15.
Départ 5h pour l'ascension du volcan Santa Maria.
On passe par agence pour plus de facilité et on se retrouve donc avec un groupe de 5 américains. L'un d'entre eux parle francais et 2 autres espagnol.
A 5h30 on arrive au pied de la montagne, á 2500m d'altitude, c'est parti!!!
C'est par un sentier étroit, abrupte et glissant que nous devons atteindre la cime du volcan. Il a plu toute la nuit et le sol est trés glissant. Evidemment je peine, mes cuissous sont en surchauffe! Pourtant avec tout le sport que j'ai fait cette année je devrais galoper...
Les américains montent en parlant...ca me désole! Adrien me suit et s'arrete de temps en temps pour marcher ensuite á son rythme! Il me rattrape vite...
Aprés une petite crise de "j'y arriverai jamais, c'est trop dur, et l'américaine elle parle trop ca me fatigue" je finis par atteindre la cime: 3772m! Oui messieurs zé mesdames!
Il fait beau meme si le ciel est voilé et on a vue sur la chaine des volcans d'amérique centrale. Magnifique!
On fait une pause d'une heure et quart pendant laquelle on guette le volcan Santiaguito. Il entre en éruption de temps en temps d'oú une pause si longue. La derniére éruption a eu lieu á 5h30 du matin. En arrivant on voit une fumée blanche au dessus du cratére et des fumeroles deci delá. Et d'un coup une épaisse fumée grise s'éléve: c'est l'éruption. "Trop de la chance". Il faut en profiter c'est court. On ne voit pas de pierres ejectées et on entend juste un lointain vrombissement mais c'est impressionant.
Il est possible de faire une ascension de 2 jours avec campement á 150m seulement du cratére... Pour les expérimentés peut-etre! On se contente du jolie cratére de Santa Maria bordé de fleurs violettes, jaunes ou rouges avec vue directe sur l'énervé d'en face!
Départ 5h pour l'ascension du volcan Santa Maria.
On passe par agence pour plus de facilité et on se retrouve donc avec un groupe de 5 américains. L'un d'entre eux parle francais et 2 autres espagnol.
A 5h30 on arrive au pied de la montagne, á 2500m d'altitude, c'est parti!!!
C'est par un sentier étroit, abrupte et glissant que nous devons atteindre la cime du volcan. Il a plu toute la nuit et le sol est trés glissant. Evidemment je peine, mes cuissous sont en surchauffe! Pourtant avec tout le sport que j'ai fait cette année je devrais galoper...
Les américains montent en parlant...ca me désole! Adrien me suit et s'arrete de temps en temps pour marcher ensuite á son rythme! Il me rattrape vite...
Aprés une petite crise de "j'y arriverai jamais, c'est trop dur, et l'américaine elle parle trop ca me fatigue" je finis par atteindre la cime: 3772m! Oui messieurs zé mesdames!
Il fait beau meme si le ciel est voilé et on a vue sur la chaine des volcans d'amérique centrale. Magnifique!
On fait une pause d'une heure et quart pendant laquelle on guette le volcan Santiaguito. Il entre en éruption de temps en temps d'oú une pause si longue. La derniére éruption a eu lieu á 5h30 du matin. En arrivant on voit une fumée blanche au dessus du cratére et des fumeroles deci delá. Et d'un coup une épaisse fumée grise s'éléve: c'est l'éruption. "Trop de la chance". Il faut en profiter c'est court. On ne voit pas de pierres ejectées et on entend juste un lointain vrombissement mais c'est impressionant.
Il est possible de faire une ascension de 2 jours avec campement á 150m seulement du cratére... Pour les expérimentés peut-etre! On se contente du jolie cratére de Santa Maria bordé de fleurs violettes, jaunes ou rouges avec vue directe sur l'énervé d'en face!
Inscription à :
Articles (Atom)
